Wallonie : l’effet turbo de la baisse des droits d’enregistrement

Depuis janvier 2025, la Wallonie a abaissé ses droits d’enregistrement à 3 % pour l’achat d’une résidence principale, contre 12,5 % à Bruxelles. Cette réforme fiscale a provoqué un véritable boom du marché : + 12 % de transactions dans le sud du pays, tandis que Bruxelles accuse un recul de 10 %. Le Brabant wallon bénéficie d’une localisation idéale et d’une forte attractivité, la région tire donc particulièrement profit de cette mesure. Un signal fort pour les primo-acquéreurs et les investisseurs en quête de rentabilité !

Mais attention, tout le monde ne peut pas en bénéficier. Pour profiter de cet avantage, vous devez remplir certaines conditions :

Ne pas être propriétaire (en pleine propriété) d’un autre bien immobilier, en Belgique ou à l’étranger.

Acheter un bien en pleine propriété (pas de démembrement entre usufruit et nue-propriété).

Vous devez vous engager à vous domicilier dans le bien endéans les trois ans, une fois l’acte signé et ce, pour une durée minimale de 3 ans également.

Vous n’êtes pas certain à 100% de cocher toutes les cases pour bénéficier de cette mesure ? C’est justement là qu’on intervient. Nos agents vous guident pas à pas pour vérifier votre éligibilité et optimiser votre achat.

Rendez-vous en agence pour en discuter !

Bruxelles : une légère hausse des prix mais un marché au ralenti

Le prix des maisons bruxelloises a progressé de 3,4 % en moyenne sur l’année, tandis que celui des appartements augmente très modérément (+1,4 %). Pourtant, le nombre de transactions stagne. En cause : une fiscalité plus lourde qu’en Wallonie et une incertitude politique persistante. Cette situation pousse les vendeurs à être plus flexibles dans leurs prix et les acheteurs à bien étudier leurs options. Le marché reste dynamique, mais exige stratégie et adaptabilité.